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M&G
Après des mois d’incertitudes, les électeurs britanniques ont finalement pris la décision historique de quitter l’Union européenne.
Cette décision ne prendra pas effet avant au minimum deux ans, voire davantage. D’ici là, la réglementation encadrant la gestion d’actifs et la distribution de fonds en Europe continue à s’appliquer.
 
En tant que société britannique, M&G a largement anticipé ce changement en interne.
Notre CEO, Anne Richards réaffirme notre volonté de continuer à défendre les intérêts de nos clients : « le résultat du referendum ne change pas qui nous sommes et ce que nous faisons. Pas plus que notre engagement envers nos clients, où qu’ils soient. Nous continuerons à distribuer nos fonds dans l’Union européenne comme nous l’avons fait avec succès depuis 14 ans. »
 
Par ailleurs, pour traiter cette actualité exceptionnelle et son impact sur les différents marchés, M&G a créé une page web dédiée : http://www.mandg.fr/cgp/eu-referendum/
Celle-ci recueillera tout au long de la journée, les interviews, vidéos et commentaires de nos gérants.
 
Florent Delorme – Analyste Macroéconomie chez M&G – tiendra également une conférence téléphonique à 15h00.
Merci de vous inscrire en répondant à cet email.
 
Enfin, vous trouverez en pièce jointe la première réaction de Richard Woolnough et les arbitrages réalisés dans son fonds M&G Optimal Income Fund ainsi que celle de Stuart Rhodes sur M&G Global Dividend Fund.
D’autres commentaires suivront sur les autres fonds de la gamme.

M&G Global Dividend Fund - Flash spécial Brexit  - M&G Optimal Income Fund - Flash spécial Brexit

 

ODDO

Les Britanniques ont choisi de quitter l’Union Européenne cette nuit. L’impact sur les marchés qui avaient depuis quelques jours anticipé un « Bremain » est massif.
• La livre sterling perdait 11% par rapport au dollar à l’ouverture. Ce mouvement est justifié compte tenu du fort déficit de la balance courante (-4.8% du PIB) et de l’incertitude liée aux changements politiques à venir. Gardons à l’esprit que l’article 50 du traité de Lisbonne autorise une période de négociation de 2 ans pour que le Royaume-Uni mette de nouvelles règles bilatérales en place avec l’Union Européenne. En cas de volatilité exacerbée, la BOE (Bank of England) ne manquera pas d’intervenir. Pour autant, à moyen terme une devise en baisse de 10 % constitue une dévaluation compétitive tant que le Royaume-Uni n’est pas attaqué sur sa dette. Ce matin nous constatons qu’elle résiste bien et traite autour de 1% sur le 10 ans.

LIRE LA SUITE : Oddo note BREXIT